C. De and L. Forest, publiée pour la Société d'Histoire Contemporaine par M. Geoffroy de Grandmaison, Paris, Alphonse Picard et fils, libraires de la Société d'Histoire Contemporaine, rue Bonaparte, III, p. 179, correspondance du 7 janvier 1810. Cité par Gérard Dufour, Les correspondances interceptées publiées dans les presses officielles pendant la Guerre d'Indépendance, El Argonauta español 3, pp.1808-1813, 1018.

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G. Dufour, L. Correspondances-interceptées?, O. P. Mr, L. G. Paris, . Michaud et al., Institut de France, servant de supplément à son recueil publié en 1810 Poésie anti-napoléonienne en français à l'époque de la Guerre d'Espagne (1808-1814) Textes réunis par Gérard Dufour, et suivies de quelques autres poésies du même auteur Ce texte est cité dans En vers et contre Napoléon

M. Cette-Épigramme-fut-attribuée-À and . Chénier, Chénier, membre de l'Institut ; revues, corrigées et augmentées de beaucoup de morceaux inédits ; précédées d'une notice sur Chénier par M. Daunou, membre de l'Institut ; et ornée d'un portrait de l'auteur par M, pp.357-358

X. Daumalin, O. Raveux, and C. , Régnart et I. Renaudet (dir.), La Mosaïque des racines. Pouvoirs, cultures et sociétés en France et en Méditerranée XVI e -XXI e siècle, Mélanges en l'honneur du professeur Gérard Chastagnaret, Aix-en-Provence, pp.121-131, 2014.

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. Pero-todos-sabemos-que-una-especie-se-aumenta, Que cuando ve su industria sin el premio Que sus duros afanes le prometen El caballo inocente muere, es cierto: Y ¿cuál es el que muere? El achacoso Que está lleno de males y defectos; El que por larga edad cumplir no puede Con el destino a su desgracia anejo; En fin, el que sirve, sirve poco, Aunque enamore con su buen aspecto. Españoles, en todas las naciones Las grandes diversiones no se han hecho Sin un gran sacrificio: un Hecatombe Hacía correr la sangre a un mismo tiempo De cien hermosos toros que morían Por aplacar de una deidad el ceño, O la codicia y hambre de ministros Dignos del Dios a quien subía el incienso. Como también en la carrera augusta De la olímpica gloria perecieron Mil y mil veces los caballos nobles A los impulsos de su ardiente fuego O su heroicidad: el héroe mismo Víctima fue de su ambicioso intento. No recordemos la horrorosa escena De la gran Roma en sus mejores tiempos. !Aquel anfiteatro sanguinario!... Su arena aún empapada? pero echemos Un velo espeso sobre horrores tantos De nuestras puras almas bien ajenos. Nuestras fiestas que el tiempo ha consagrado, Y la nación mantiene con esmero, Del placer y el valor son el teatro Por los motivos que reunimos vemos. Rica, brillante, alegre concurrencia Forman el espectáculo más bello Y más grandioso que la vista humana Jamás puede mirar; el extranjero Lleno de admiración observa a todos Animados de un mismo sentimiento. Allí preside pura la alegría, risa está pintada en el aspecto De inmensa gente que el espacio llenan De toda condición, edad y sexo. Suena el clarín, y el alma se prepara Entre el temor que agita nuestro pecho Y la esperanza de que el triunfo siga A los actores del combate fiero. Estos siempre animosos y valientes

. Si-el-dulce-clima-de-la-bella, Italia Fuera el teatro de tan nobles juegos La voz de los encomios llegaría No de Europa, del mundo a los extremos. ¡Cuánto es peor quitar el ser a un hombre

. Pero, fiesta sigue Variando siempre suertes y manejos Una cuadrilla de otros valerosos, Que no son en la lucha menos diestros, Se presenta a lidiar, Las armas matadoras de la fiera Ni los detienen

Y. Antes-le-hieren-por-entre-ellas-mismas and . Su-mirar-soberbio, Para escapar de su furiosa rabia El arte y la ligereza son los medios: Juegan con él, le llevan donde quieren, Y cuando aparece que aquel fiero Indómito animal está vencido Y cuando con inútiles esfuerzos Ha procurado maltratar al hombre, Se presenta a ganar nuevos trofeos El héroe principal, en cuyas manos Va de la muerte el hórrido instrumento. Se pone frente a frente, le convida, Le llama, desafía y al momento Que la fiera se mueve para herirle, Consigue el hombre el triunfo verdadero, Y con una atrevida maniobra Ve tendido a sus pies el monstruo horrendo

. Avec-quelle-violence, Contre les combats de taureaux Que d'aucuns qualifient de barbares et funeste Et qui pour moi sont héroïques, nobles et sublimes ? On reproche à l'Espagne d'être la seule A conserver ce spectacle sanglant Et l'on veut ainsi nous prouver Que reste enracinée au

. Quand-la-corde-de-l, arc est tendue Et qu'on ne la relâche pas pendant longtemps, Elle perd son élasticité et ne sert plus A ce pour quoi elle fut conçue. Envers l'homme, cette sage conduite A toujours été observée par les gouvernements avisés Qui

L. 'espagne, S. Cette-nation-si-puissante, and . Jeux-de-la-guerre, A toujours fait ses délices et tiré gloire D'offrir à son peuple valeureux Les combats de taureaux dans lesquels le courage Est secondé par l'art et l'habileté Autrefois dans cette lutte maniait la lance Le preux chevalier qui voulait faire preuve devant son roi De la flamme et de l'intrépidité de son noble coeur. Tous les Espagnols se hâtaient d'y accourir Et le moment où l'on annonçait des fêtes si solennelles A toujours été attendu avec la plus grande impatience. C'est la fête nationale, et la coutume, Sa pratique ininterrompue, ainsi que la tradition Lui conservent un enthousiasme que n'éteignent pas Et n'ont pu éteindre les arguments Des esprits sinistres qui ont voulu Faire du monde un sévère couvent

. De-même-dans, auguste course A la gloire olympique des milliers De nobles coursiers périrent emportés par leur ardeur Ou leur héroïsme : même le héros Fut victime de son ambitieuse tentative. Et ne parlons pas de l'horrible spectacle De la grande Rome au faîte de sa splendeur

. Une-foule-riche, brillante et joyeuse Forme le plus beau et le plus grandiose Spectacle que puisse jamais voir l'oeil de l'homme

. Il-règne-la-plus-grande-allégresse, Le rire s'affiche sur les visages De la foule immense de toute condition, de tout âge, de tout sexe Qui remplit entièrement l'espace

. Le-clairon-sonne, et le coeur se prépare Partagé entre la crainte qui nous étreint Et l'espoir de voir triompher Les acteurs de ce combat sauvage

T. Eux and . Pleins, Avec calme et sang-froid Non seulement attendent l'animal sauvage, Mais vont à son devant et le provoquent, Et avec le fer dont sont armées leur force et leur adresse

. Le-vainqueur-est-porté-en-triomphe, Bien que la foule soit immense, Sa victoire est célébrée d'une seule voix, ou presque. Combat et applaudissements reprennent

. Mais-si-d, aventure le fier animal Met l'homme en péril, accourent Tous ses compagnons de lutte, Qui, avec une intrépide adresse, Ecartent l'horrible bête Et sauvent l'homme à cheval

S. Pourquoi and . Philosophes, Insultez-vous l'Espagne pour ces divertissements ? Employez votre fiel pour d'autres vices Qui répandent de façon moins visible Le poison qui détruit la vie et les moeurs : Laissez-nous nous amuser selon notre tempérament

. Si-le-doux-climat-de-la-belle-italie, Etait le théâtre de si nobles jeux, Ils seraient encensés non seulement dans toute l'Europe