L. Eisner and F. W. Murnau, Weimar Cinema and After : Germany's Historical Imaginary, On a beaucoup écrit sur ce double sujet, ainsi que sur l'art de Murnau dans ce film et ses ascendants picturaux. Cf. chronologiquement : Lotte Eisner, L'Écran démoniaque, pp.223-235, 1952.

E. Greminigi, F. W. Faust-di, P. Murnau, and . Di-prato, Campanotto Editore, coll. « Cinema, 2007.

, Méphistophélès apparaîtra dans une série d'éclairs

, tout mettre en scène, se dématérialise originairement au profit de la vision créatrice d'images de Faust. D'un Faust alchimiste devenu illusionniste

G. Murnau-aurait-pu-s'écrire-comme-le-flaubert-légendaire-:-«-faust,-c'est-moi-!-»-*-;-de and . Stein, ainsi que ses thèmes récurrents sur la culbute des conventions visuelles du spectateur et la vision hypnagogique (qui comporte de nombreux points communs avec les observations de la Théorie des couleurs de Goethe [1808-1810] sur les « couleurs psychologiques » produites par la rétine en réaction à de fortes stimulations visuelles) : Faust, déplacé d'un personnage de la narration à l'incarnation d'une expérience sensible, ne fait plus qu'un avec « les cellules hypnagogiquement visibles de sa vue sensorielle [receptive sight] et de son mode de connaissance interne, Après une première tentative ratée d'adaptation dans les années 1950 (donnée dans Metaphors on Vision), Stan Brakhage réalise entre 1987 et 1989 Four Film Faust, d'après Marlowe, vol.20, 1938.

S. Brakhage, Essays of a a Visionary Filmmaker, p.50, 2003.

S. Brakhage and . Faust, Pour approfondir, cf. R. Bruce Elder, « Goethe's Faust, Gertrude Stein's Doctor Faustus Lights the Lights, and Stan Brakhage's Faust Series, Canadian Journal of Film Studies, vol.4, pp.165-180, 1992.