J. Bato, &. Mewuda, and S. Mina, la vie d'un comptoir portugais en Afrique occidentale, vol.2, pp.304-317, 1993.

A. Kouamé, Une contribution à l'étude de la traite négrière française, thèse septembre 2005, CRHIA Nantes. Voir par exemple Godefroy Loyer, Les cargaisons de traite au xviii e siècle, p.1704

I. Idem, , p.392

. Ibidem, , p.384

F. Trivellato and . Juifs-de-livourne, Hindous de Goa, réseaux marchands et échanges culturels à l'époque moderne », Annales. Histoire, Sciences sociales, n°3, mai-juin, pp.581-603, 2003.

, Voir dans ce même numéro l'étude de Luca Lo Basso

O. Raveux, Entre réseau communautaire intercontinental et intégration locale : la colonie marseillaise des marchands arméniens de la Nouvelle-Djoulfa (Ispahan), pp.81-100

O. Raveux, Du corail de Méditerranée pour l'Asie, pp.343-359

G. Yogev and C. Diamonds, Anglo Dutch jews and Eighteenth-Century Trade, 1978.

P. Masson, Histoire des établissements et du commerce français dans l'Afrique Barbaresque, p.521, 1903.

O. Lopez,

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G. Rambert, H. Du-commerce-de-marseille, T. Vii, and . L'europe, moins les trois péninsules méditerranéennes. Les États-Unis, pp.245-246, 1966.

L. Shd, , pp.1-256

, On ne connaît cependant pas la quantité exacte de ces caisses

L. Shd, b, liasse 30, et G. Audibert à M. Godeheu d'Igoville, directeur de la Compagnie des Indes du port de Lorient, pp.1752-1761

C. Accimp, L. Royale-d'afrique, and . Iii, Délibération du 13 janvier 1761. Ventes à Ployard, à Timon et Chaudière, en compensation de fourniture de piastres, vol.21

L. Compagnie, Afrique craint, à cette époque, de perdre le débouché de Lorient, à cause des bruits prématurés de « dissolution de la Compagnie des Indes

C. Carrière, Négociants marseillais au xviii e siècle. Contribution à l'étude des économies maritimes, vol.2, pp.344-347, 1973.

L. Shd, 1P-279 b liasses 109 et 110, 1 P 284b et 1P-291 b

«. , qui croît dans l'eau sur un fonds pierreux, en forme d'arbre que les Européens, surtout les Hollandais, achètent dans le royaume de Benin, pour les échanger contre des esclaves sur la Côte d'Or, au Gabon et en Angola » d'après Jacques Savary des Bruslons, pp.382-383

, Jacques Savary des Bruslons, op. cit, p.387

I. Idem, Du rouge pour le Noir Rives méditerranéennes n o 57-2018 Autour du corail rouge de Méditerranée, p.377

. Collier, Jacques Savary des Bruslons la signale rapidement dans sa description du commerce avec les côtes d'Afrique quand il mentionne que : lorsqu'ils [les Hollandais] arrivent sur les côtes de Guinée, il sort au devant d'eux une troupe nombreuse d'habitants qui en dansant et chantant, leur témoignent la joie qu'ils ont de les voir. Les Officiers du roi sont à la tête de tous et sont accompagnés de gens destinés à porter à terre les marchandises. La permission de négocier [c'est nous qui soulignons] coûte ordinairement pour le droit du Prince, une masse de corail fin, et six filières de corail assorties d'une ou deux livres (120 pièces) 82 . Les 180 pièces sont très marginales à côté de l'ensemble des tissus évalué à 46 200 pièces de traite 83

, Commandé par Jean-Étienne Garcin, le navire se dirige vers la côte de Guinée, passe au large de l'île de Gorée le 13 juillet et atteint la rivière de Gambie trois jours plus tard 86 . Commence alors une campagne de traite connue grâce au journal de voyage du capitaine 87 . Le 29 juillet, à la hauteur de la rivière de Galine, « un mulâtre [est venu à bord] pour voir les marchandises. » Le capitaine Garcin confie alors le navire à son second et va, muni de corail, à la rencontre du « roi Barra » pour négocier. Le 30 juillet, Cet usage du corail se retrouve en 1765, quand l'armateur marseillais Georges Roux expédie un de ses navires

A. Kouamé, Les cargaisons de traite au xviii e siècle op. cit, p.296

A. Roman and S. Op, , p.79

, Jacques Savary des Bruslons, op. cit, pp.382-383

C. Carrière and M. Goury, Georges Roux de Corse. L'étrange destin d'un armateur marseillais, pp.169-170, 1990.

, Copie confiée par Michel Goury que je remercie vivement. Le capitaine Garcin meurt le 29 octobre 1765 vers Saint-Domingue. Il est remplacé par Jean Joseph Raymondis qui continue le voyage, Journal de voyage du capitaine Garcin ». Archives privées

E. L. Osborn, A red like no other. How cochineal colored the world, pp.82-87, 2015.

, Le corail est toutefois inégalement représenté dans les états des marchandises débarquées à Canton. En 1784, le Sagittaire, le Provence et le Triton quittent Marseille et Toulon pour la Chine avec 75 728 livres de coraux de la manufacture Miraillet et Remusat (pour une cargaison d'une valeur totale déclarée de 2 172 541 livres), Louis Dermigny, Cargaisons indiennes, vol.2, p.91, 1960.

O. Raveux, . Du, and . De-méditerranée?, , p.343

, La quantification est également délicate car les ventes se font en « filières », « caisses » et « masses » aux valeurs méconnues. Ainsi, en janvier 1784 le Consolateur part de La Ciotat pour l'Île de France et l'Inde avec à son bord « 3 caisses contenant ensemble 9 filières et 27 masses de corail ouvré assorti » Louis Dermigny, Cargaisons ?op. cit, pp.145-146

, Du rouge pour le Noir Rives méditerranéennes n o 57-2018 Autour du corail rouge de Méditerranée