Résumé : Si la colline est objet de «passion» (un chroniqueur local de Pourrières parle plus littérairement de « notre bois aimé »), c'est d'abord parce qu'elle est perçue comme l'espace patrimonial par excellence; c'est là que se greffe le maximum de savoirs particuliers, inaccessibles à l'étranger; c'est là que l'on prélève des denrées particulièrement valorisées dont la consommation, au rythme des saisons, scelle l'appartenance au terroir; c'est encore dans cet espace limitrophe qu'est
implanté un réseau de chapelles et de croix qui bornent et protègent le territoire communal.
https://hal-amu.archives-ouvertes.fr/hal-02009801
Contributor : Véronique Ginouvès <>
Submitted on : Wednesday, February 6, 2019 - 3:50:40 PM Last modification on : Tuesday, March 30, 2021 - 3:23:31 AM Long-term archiving on: : Tuesday, May 7, 2019 - 4:19:08 PM
Annie-Hélène Dufour, Raymonde Malifaud, Christian Bromberger, Claudie Gontier,. Les paysans varois et leurs collines. Les enjeux symboliques d'une «passion». 2ème partie. Forêt méditerranéenne, A paraître, 3, 1 (45-56.). ⟨hal-02009801⟩