». , L. «. Trait-d'un-retrait, and ». , innommable » dont parlait déjà Kant à quoi l'écriture sur l'art se fera à son tour passible, ce dont elle devra être passible ? Lyotard, à propos de Kant : il est faux de ne voir en Kant que celui qui aura prolongé en art l'évacuation de la matière, au profit du seul sentiment intérieur (le jugement réfléchissant) ; la philosophie kantienne de l'art ne s'arrête pas à la distinction de la pulchritudo vaga et de la pulchritudo adhaerens. Car il n'y a pas que la beauté, et la beauté est désormais, leçon adornienne, dégradée dans le kitsch par l'industrie culturelle. Il faudra donc pousser une fois de plus Kant au-delà de lui-même, le connecter sur Burke, et affronter dans l'art, dans ce qui fait l'art, dans un siècle qui fut celui de l'effroyable, le déplacement du beau au sublime esthétique, de la captatio benevolentiae à la terreur, là où Kant, trop rationaliste encore peut-être, n'avait fait du sublime qu'un concept pour la nature, mathématique ou dynamique, car l'art, fait par les hommes, achoppe à mettre en images le suprasensible. Lyotard, quant à lui, n'aura de cesse de traquer le sublime dans l'art en passant du simple interdit de la représentation

. Le-tableau-présente-la-présence, Personne, surtout pas Newman, ne me fait le voir, au sens de : le raconter, l'interpréter 33 . » Le sublime, ou cet autre nom du différend dans l'art par où vrille l'euphonie grondante de ce qui in-time parce qu'il in-timide