Y. Kij? and . Composition, Logique de la négation de soi -Métamorphoses par l'imaginaire, T?ky?, San.ichi S?b?, 1970, p. 88 : « Qu'est-ce qu'un film, en d'autres termes capable d'immobiliser ce regard spectatoriel qui, horizontalement, glisse indéfiniment ? un film où le regard ne suscite pas simplement une critique facile, 1966.

, par leur passibilité, par leur entrelacs, l'agencement idiomatique d'une perception d'images dans laquelle le mouvement se met en question. Ces quelques plans, sans prétendre faire valoir avec un film un fait générique : il faudrait en examiner plusieurs autres, tendraient à laisser voir qu'en cinéma, en dépit des apparences, c'est moins le mouvement stabilisé et assuré (un tel mouvement existe-t-il seulement, quel qu'il soit ?) que le mouvement comme apparition-disparition toujours continuée, qui fait image, mouvement mouvementé pour lequel le commencement n'en finit jamais de commencer. Le cinéma, la pellicule allant d'arrêts en relances, pensée « des » images n'a rien d'intentionnelle -, mais parce qu'elles rendent possible