P. Platon, trad. Frédérique Ildefonse, pp.84-87, 1997.

M. Merleau-ponty, L. Esprit, . Paris, .. Gallimard, and . Essais, , p.23

. Ibidem,

J. Nancy, Corpus, p.60, 1992.

P. Cassou-noguès, Mon zombie et moi. La philosophie comme fiction, pp.305-335, 2010.

R. Descartes, ;. Alquié, . Paris, .. Garnier, and . Garnier, à propos du désir irréfléchi de vouloir ce qui ne peut être : « Nous ne désirerons pas davantage d'être sains, étant malades, ou d'être libres, III, OEuvres philosophiques (1618-1637), tome i, éd. Ferdinand Alquié, p.596, 1967.

D. Aristote, Bibliothèque des textes philosophiques, vol.II, p.107, 1995.

M. Merleau-ponty, Le Visible et l'invisible suivi de Notes de travail, éd, Claude Lefort, p.171

. Qui, botanique, zoologie) après la vente de la sienne au diable. Voire toute la dernière partie de Aldebert von Chamisso, La Merveilleuse Histoire de Peter Schlemihl ou l'homme qui a vendu son ombre, Les Romantiques allemands, tome II, éd, pp.1045-1104, 1973.

J. Voir, L. Aumont, and . Montreur, « Essais d'art et de philosophie, p.17, 2012.

. Mcleod, où des fantômes, invisibles pour les autres personnages du récit mais bel et bien visibles pour le spectateur, 1937.

P. Roger-de, Cours de peinture par principes, p.362, 1708.

J. L. Par, L. Schefer, . 'homme-ordinaire-du-cinéma, . Paris, /. Gallimard et al., Je me permets de renvoyer sur ce point à mon article « Jean Louis Schefer, Italo Calvino : le cinéma des âges de la Terre, vol.18, p.18, 1980.

. Pline-l'ancien, . Histoire-naturelle, . Xxxv, . Xliii, . Croisille et al., Celle de la peinture avait été, quant à elle, déjà indiquée avant, mais sans aucune circonstance précise ni aucun nom : « Les Égyptiens déclarent qu'elle a été inventée chez eux six mille ans avant de passer en Grèce : vaine prétention, c'est bien évident. Quant aux Grecs, les uns disent que le principe en a été découvert à Sicyone, les autres à Corinthe, et tous reconnaissent qu'il a consisté à tracer, grâce à des lignes, le contour d'une ombre humaine, La Peinture ancienne, vol.17, p.59, 1985.

L. Battista and A. , De la peinture/De pictura (1435), II, 26, trad

«. La-littérature-artistique, Alberti renverse ici du tout au tout la critique platonicienne de la peinture qui avait précisément reposé sur la métaphore dépréciative du miroir. Voir Platon, La République, X, 596c-e, OEuvres complètes, tome I, éd. et trad. Léon Robin, p.1206, 1960.

M. Merleau-ponty, Le Monde sensible et le monde de l'expression, ChampContrechamp Grands Ouvrages, p.15, 1953.

R. Gely, Par quoi l'on voit, entre parenthèses, que les théories de la Gestalt, supposant une conscience intentionnelle a priori confortablement installée, hermétiquement, en face d'un monde visé comme non-moi (aller sans retour), se trompent : intentionnalité et monde sont co-institués mutuellement dans la perception, Bibliothèque philosophique de Louvain, p.92, 2005.

L. Merleau-ponty, . 'oeil, and . Esprit, , p.85

. Ibidem,

. Merleau-ponty, Phénoménologie de la perception, p.108

. Merleau-ponty, Le Visible et l'invisible, op. cit, p.319

. Merleau-ponty, Phénoménologie de la perception, p.245

, Les êtres invisibles pour certains personnages mais vus par d'autres : on peut se demander s'ils se voient euxmêmes. Si des yeux fantomatiques ou angéliques, d'êtres qui n'ont pas un corps sur le même régime que le nôtre, si tant est qu'ils en aient un

. Merleau-ponty, Phénoménologie de la perception, p.106

P. Bert, Leçons d'anatomie et de physiologie animales, p.228, 1886.

G. W. Leibniz, Nouveaux Essais sur l'entendement humain, Préface, éd, Jacques Brunschwig, p.41, 1990.

. Ibidem,

. Merleau-ponty, Phénoménologie de la perception, p.108

J. Derrida, L. Toucher, and J. Nancy, , p.309, 1998.

. Cassou-noguès, Mon zombie et moi, op. cit, p.40

L. Derrida, J. Toucher, and . Nancy, , p.18

P. Maine-de-biran, Librairie Générale Française/Le Livre de Poche, coll. « Classiques de la philosophie, p.165, 2005.

P. Maine-de-biran, Essai sur les fondements de la psychologie et sur ses rapports avec l'étude de la nature, Bibliothèque des textes philosophiques, vol.I, p.118, 2002.

. Maine-de-biran, De l'aperception immédiate, p.163

. Maine-de-biran, , p.123

L. Wells and O. 'homme-invisible, Ce qui ne lasse pas de m'étonner : comment brume et tempête peuventelles coexister ?, p.37

, Lucrèce : « ? les corps frappant nos yeux et provoquant la vision (corpora quae feriant oculos visumque lacessant) » (De la Nature, José Kany-Turpin, p.254, 1997.

. Maine-de-biran, De l'aperception immédiate, pp.226-227

À. Ne-pas-confondre,