, L'expression vient de Jacques Aumont, À quoi pensent les films ?, pp.47-67, 1996.

, Je rends justice pour ce qui suit à la dette que j'ai contractée à l'endroit des recherches menées par Giusy Pisano. Voir notamment G. Pisano, Une archéologie sonore du cinéma sonore, Cette proposition a été développée par plusieurs chercheurs en histoire du cinéma depuis quelques années, pp.80-98, 2004.

B. Balázs, L. 'homme-visible, and T. C. Maillard, , p.p, 2010.

F. Consulter-alain-porte and . Delsarte, , 1992.

C. Ginzburg, Mythes emblèmes traces. Morphologie et histoire, trad. Monique Aymard, Christian Paoloni, Elsa Bonan et Martine Sancini-Vignet, revue par Martin Rueff, nouv. éd. augmentée, Lagrasse, Verdier, coll. « Verdier poche », p.253, 1989.

L. Balázs, Homme visible et l'esprit du cinéma, op. cit

, On voit la nette différence entre cinéma et théâtre quand un film nous apparaît mal joué. « Ici, mal jouer a une autre signification. [?] Les fautes ne sont pas des contradictions avec un texte de base, mais des contradictions du jeu avec lui-même » (B. Balázs, Le Cinéma. Nature et évolution d'un art nouveau, trad, Jacques Chavy, p.47, 2011.

L. Balázs and O. 'homme-visible, Ce processus prend un certain temps : « Car une loi de la nature fait que tout organe non utilisé s'atrophie et se mutile. Dans la civilisation des mots notre corps n'a pas été pleinement utilisé, et c'est pourquoi il est devenu maladroit, rudimentaire, stupide et barbare, p.21

L. Balázs and . Cinéma?, , p.40

, Voir ci-dessus note 31

. Dans-l'art-paléolithique and . Le, sorcier" est l'hypothèse limite de la figure humaine comme hybridation animale, tout autre chose qu'un homme déguisé ; il est dans le monde des esprits ou des "forces" un changement d'identités. Mon hypothèse de base est l'absence de la figure humaine, c'està-dire son impossible rivalité avec la force figurative des animaux, p.36, 1999.

L. Schefer, Homme ordinaire du cinéma, op. cit., p. 18. L'auteur souligne

J. L. Schefer, Pour un traité des corps imaginaires, p.89, 2014.

J. Schefer, Du monde et du mouvement des images, J, p.21, 1997.

I. Schefer, . Mobiles, and P. O. Paris, , 1999.

. Schefer, Pour un traité des corps imaginaires, op. cit

J. L. Schefer, , p.139, 1999.

. Ibidem,

. Ibidem,

J. L. Schefer, Les Joueurs d'échecs, 2014.

. Schefer, Pour un traité des corps imaginaires, op. cit

M. Iampolski, Profondeurs du visible : à propos de Der Sichtbare Mensch de Béla Balázs, vol.62, pp.37-39, 2010.

A. Kubin and L. Côté, , p.125, 1983.

B. Balázs, Schriften zum Film, vol.1, p.206, 1982.

G. Dulac, . Écrits-sur-le, and . Cinéma, « Les procédés expressifs du cinéma », éd. Prosper Hillairet, p.37, 1919.

. Balázs, Schriften zum Film, p.206

J. C. Lavater, La Physiognomonie ou l'Art de connaître les hommes d'après les traits de leur physionomie, trad. Henri Bacharach et Jean-Alexandre Havard, Delphica/L'Âge d'Homme, p.6, 1979.

. Ibidem,

B. Balázs, L. Du-cinéma, and T. J. Chavy, Petite Bibliothèque, p.205, 2011.

L. Lavater, Physiognomonie ou l'Art de connaître les hommes d'après les traits de leur physionomie, p.91

V. Victor and I. Stoichita, Brève Histoire de l'ombre, pp.172-173, 2000.

L. Balázs and . Cinéma?, , p.85

. Iampolski, Profondeurs du visible : à propos de Der Sichtbare Mensch de Béla Balázs, p.47

L. Balázs and . Cinéma?, , p.188

L. Balázs and . Cinéma, , p.134

L. Balázs and . Cinéma?, , p.73

L. Balázs and . Du, 193 : « Vue d'aussi près, la petite expression devient si grande que la grande expression en devient pratiquement insupportable. » L'ambiguïté sur le statut de l'acteur est ainsi levée : on doit préférer au cinéma les visages banals, « tirés de la vie

, pour lesquels il est moins question de jouer stricto sensu, de représenter, que de présenter à la caméra « quelque chose qui est là par nature » (ibidem). L'acteur de cinéma n

. Deleuze, Cinéma 2. L'image-temps, op. cit, p.303

. Tesson, Cahiers de notes sur? L'Homme invisible, op. cit, p.11

R. Laennec, De l'auscultation médiate, ou Traité du diagnostic des maladies des poumons et du coeur, fondé principalement sur ce nouveau moyen d'exploration, 2 tomes, p.1819

, David Edward Hughes avait conduit les premières recherches abouties, avant Herz et Marconi, sur la transmission sans fil (spark-gap transmitter and receiver), Dès 1879

W. Crookes, « Some Possibilities of Electricity », The Fortnightly Review, n° 102, 1er février 1892, p.174

. Tesson, Cahiers de notes sur? L'Homme invisible, pp.22-23

V. Hugo, Choses vues (1870-1885), éd. Hubert Juin, p.433, 1972.

P. Morand, , 1900.

H. Voir, . Sakamoto, . Du, and . Au-téléphone, Repenser la "mise en scène" du dialogue dans À la recherche du temps perdu, Proust et le théâtre, Marcel Proust aujourd'hui, p.254, 2006.

T. Pour-plus-de-détails, L. Du-moncel, . Téléphone, . Paris, and . Hachette, Le premier microphone avait été breveté par Émile Berliner en 1877. L'année suivante Hughes déposa le nom avec le premier transmetteur électroacoustique. Le micro était d'abord destiné à la captation téléphonique et dérivait d'inventions antérieures capables d'intercepter les sons, voire de les graver sur un cylindre de cire, pp.117-127, 1857.

, Il faudra attendre plusieurs dizaines d'années avant que le microphone puisse servir à la captation musicale

«. Pisano and . Théâtrophone, Anachronistic Hybrid Experiment or One of the First Immobile Traveler Devices ? », art. cit, p.89

P. Schaeffer, Traité des objets musicaux, p.271, 1966.

, The Théâtrophone, an Anachronistic Hybrid Experiment or One of the First Immobile Traveler Devices ? », art. cit, Naissance du langage cinématographique, p.37, 1991.

R. Arnheim, .. M. Radio, L. Kaltenecker, G. Barthélémy, . Moutot et al., , p.143, 2005.

J. Crary, Différence : le spectacle est transmis en direct. Ce que fera aussi la radio, Suspensions of Perception. Attention, Spectacle and Modern Culture, p.4, 1999.

P. Deharme, Propositions pour un art radiophonique, vol.174, p.415

, Voir la présentation de la théorie de Balázs ci-dessus, pp.2-6

R. Arnheim, On pourrait objecter à cette remarque que, si le cas est attesté pour les vues Lumière, les premiers films d'Edison et Dickson pour le Kinétoscope se signalent très vite, au contraire, par l'usage du gros plan. Ainsi l'éternuement de Fred Ott a été enregistré dans la « Black Maria » en 1894, soit plus d'un an avant la publication du procédé des frères Lumière. Il n'en reste pas moins que cette sorte de cadrage reste tout à fait exceptionnelle, p.90

L. Véronique-campan and . Filmique, Écho du son en image, Saint-Denis, PUV, coll. « Esthétiques hors cadre, pp.20-22, 1999.