«. Lettres and . Paris, ) », La Minerve française, t. 8, Novembre 1819, p.187, 1819.

, Pour J.-L. Bory, « c'est faux de dire que ces Carabas n'ont "rien appris, rien oublié", puisqu'il ne s'est vraiment rien passé. Ils ont supprimé histoire et mémoire. L'ennui pour eux, c'est que le roi accepte de se souvenir, NRF Gallimard, « Trente journées qui ont fait la France, vol.29, p.63, 1832.

R. Drumare and M. , Méhée dénonçant au roi les actes et procédés de ses ministres attentatoires à la Constitution, s.l., 1814, p.25

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, Cette dénomination, qui est la véritable, n'est malheureusement consacrée que par l'usage, M. Dupin, rapporteur de la Charte de 1830, n'ayant fait que tardivement la remarque qu'il n'y avait pas identité entre les deux constitutions, mais qu'il s'agissait au contraire de deux constitutions différentes dont l'une venait d'être édifiée sur les ruines de la première

. Enfin, . De-la-charte-a-Été, and . Supprimé, Une telle affirmation porte à croire que l'oubli du passé, recommandé dans le préambule de 1814, appartiendrait désormais à la tradition constitutionnelle française, et s'imposerait donc encore aux pouvoirs publics 116 . Le criminaliste Grellet-Dumazeau explique que bien que le contexte politique ait changé en près de quinze ans, la reprise de l'article 11 (ancien) à l'article 10 de la Charte de 1830 traduit néanmoins le fait que la politique d'oubli inaugurée en 1814 n'est en rien circonstancielle, transitoire; elle est toujours d'actualité et ne souffre aucune exception 117 . La thèse de la continuité juridique pèche du fait qu'elle feint d'ignorer que le changement dynastique ne s'est pas opéré de la manière la plus régulière qui soit. En effet, le 2 août 1830, Charles X a abdiqué au profit de son petit-fils, âgé de seulement dix ans, le duc de Bordeaux, qui a pris pour nom Henri V. Le souci de respecter l'ordre de succession a conduit le dauphin, le duc d'Angoulême, à renoncer lui aussi au trône. Or, Louis-Philippe à qui était destiné l'acte d'abdication rédigé en forme de lettre, s'est empressé de le faire enregistrer

, Projet de rédaction d'une Charte constitutionnelle définitive, adressé au Gouvernement et aux citoyens français, p.31

. Commentaire-sur-la-charte-constitutionnelle, . Paris, C. Videcoq, and D. Langlois, Cette opinion semble être suivie, quoique de manière moins développée, par L.-J. Faverie, Législation et jurisprudence françaises, avec la doctrine des auteurs, p.7, 1836.

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A. Callut-;-genèse, É. Paris, . Des-chartes, . Genève, . Droz et al., Le musée du château de Versailles, qui à présent appartient à tout le monde, devait constituer un mémorial pour les royalistes, mais aussi du Serment du Jeu de Paume, acte historique majeur parce qu'il a ouvert une ère nouvelle de libération. Les choses devaient être présentées de telle sorte que l'on se rende compte que les actions glorieuses qui traversent l'histoire de France n'ont été possible que parce qu'elle étaient nationales. Il s'agit de montrer que d'un bout à l'autre de cette histoire on retrouve ce même lien qui unit les Français, quelles que soient leurs affiliations sociales et politiques, Th.-W. Gaehtgens, « Le musée historique de Versailles, La réunion des Musées nationaux, pp.143-168, 1994.

. Ces-sujets-furent-modifiés-par-la-suite-en-mathieu-molé, M. Le-chancelier-de-l'hôpital, and . Chaudonneret, On assiste également, dans une perspective de renouvellement de la pédagogie et la méthodologie de la recherche historique, une « véritable seconde naissance » de l'École des Chartes, fondée en 1821 sous l'égide du baron de Gérando 137 . La recherche et la divulgation des sources historiques du passé national n'ont pas non plus été négligées puisqu'un Comité pour la recherche et la publication des documents inédits relatifs à l'histoire de France est créé en 1834 138 . Ainsi sont forgés les instruments destinés à fournir les soubassements véridiques d'une mémoire nationale cautionnant les Trois-Glorieuses. Justement, s'exprimant devant la Chambre des députés le 16 janvier 1837, Guizot affirme hautement qu'« un des bienfaits de la révolution de Juillet, c'est d'avoir affranchi l'esprit de la France, de l'avoir délivrée des fantômes qui l'obsédaient. » 139 Que cherche-t-on alors à exorciser avec la loi du 19 janvier 1816? La conciliation harmonieuse de la liberté avec l'autorité monarchique, le pays contre un retour aux excès du passé 133 . Le retour des cendres de Napoléon, organisé en 1840, sur l'initiative de Thiers et du roi, vol.136, p.72, 1991.

C. Delmas, Instituer des savoirs d'État : L'Académie des Sciences morales et politiques au XIX e siècle, pp.50-51, 2006.

A. Teyssier, L. Louis-philippe, . Dernier, and . Des-français, S'y ajoute le fait que pour empêcher tout débordement, on avait tenu la foule à l'écart, qui, frustrée de ne pouvoir rendre qu'un hommage fugitif et lointain, et outrée du manque de respect d'une partie du personnel politique, en tint longtemps rigueur au pouvoir. V° E. M. Laumann, L'épopée napoléonienne. Le retour des cendres, Le retour des cendres, 11 mai-10 juin, pp.330-331, 1904.

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L. Theis, Guizot et les institutions de mémoire, pp.1575-1597, 1984.

, Procès-verbaux des séances de la Chambre des députés

, Migne observe que l'abolition a été réclamée pendant longtemps par les enfants de « ceux qui avaient eu le malheur » de voter la mort du « roi-citoyen » Capet 140 . Maintenant qu'ils ont l'oreille du roi-citoyen, et que désormais celui-ci ne souhaite pas que la France revêtisse davantage les habits du deuil, il reste à savoir si la loi mémorielle de 1816 a été abrogée ipso facto par la révolution de 1830 -parce qu'elle appartiendrait en quelque sorte au vieux monde -(1°) ou s'il est nécessaire, pour diverses raisons

, Au même moment, la Charbonnerie, société secrète inspirée des Carbonari italiens fomente plusieurs attentats destinés à renverser le trône. Par ailleurs, c'est, depuis le 20 février 1820, le duc de Richelieu qui est président du Conseil. Il va le rester jusqu'au 14 décembre 1821, avant d'être remplacé par Villèle. C'est lui qui, déjà en 1816, avait essuyé les critiques des Ultras, pour avoir été l'instigateur de la loi d'amnistie, jugée trop indulgente à l'égard de tout ce que la France était censée contenir d'éléments révolutionnaires. Et tout comme en 1816, les Ultras lui reprochent de ne pas percevoir la menace révolutionnaire qui pèse sur les institutions. D'où l'alarme chez certains parlementaires; plusieurs, considérant que les retards pris dans l'exécution des travaux sont un moyen détourné d'« enterrer

. Op and . Cit, , p.216

, Le 3 avril 1821, ce sont les députés qui ont à connaître d'une pétition, d'un certain Bolangier de Fougerolles, habitant de Remiremont (Vosges), qui réclame l'exécution de la loi de 1816. Mais cette fois-ci, alors que le comité suggère qu'on réponde que le Gouvernement a déjà pris des mesures en ce sens, le baron de Barante réplique qu'on s'est pour l'instant contenté de désigner l'église de la Madeleine pour accueillir le monument expiatoire, et il obtient de ses collègues que l'on renvoie la pétition au ministre de l'Intérieur (Ibid, Le 3 mars 1821, devant la Chambre des Pairs, le comte d'Orvillers fait état d'une pétition d'un dénommé Guyonnet de Sénac, docteur en médecine, qui demande l'adoption d'une loi tendant à ce qu'il soit élevé à Paris, sur la place Louis XV, une statue du « roi-martyr ». Il est répondu que « l'ordre du jour est motivé, à l'égard de cette pétition, p.575, 1875.

, Pour éviter cela, les ministres ont le devoir d'en référer à ce dernier, afin qu'il décide demandes vont d'ailleurs se faire plus pressantes à la suite de l'assassinat, survenu le 13 février 1820, du duc de Berry, fils du futur Charles X, par un ouvrier bonapartiste qui souhaitait éteindre en lui la race des Bourbons. Déjà, quelques jours plus tôt, la journal Le drapeau blanc laissait pointer son exaspération en accusant le président du Conseil, Decazes, de négligence fautive, d'ignorer tout ce qui ne regarde pas son intérêt personnel, et même de préférer bâtir des monument à la gloire de Kléber, Moreau et Desaix 143 . Le 1 er juin 1821, Leclerc de Beaulieu propose à ses collègues députés de faire « une très humble adresse au roi pour supplier S. M. d'ordonner à ses ministres de faire exécuter la loi du 19 janvier 1816, en ce qui concerne les monuments expiatoires ». La discussion de cette initiative est renvoyée au comité secret du 5 juin 144 . Ce jour-là, à la tribune de la Chambre, il regrette amèrement que le Gouvernement n'ait pas daigné répondre aux pétitions qui lui sont parvenues au cours des mois précédents, qui l'enjoignaient de mettre davantage de zèle dans la mise-en-oeuvre ce qui avait été délibéré en 1816. Et d'insinuer que l'accumulation des retards dans l'exécution, peut-être liée à des « complaisances coupables pour certains nommés et pour certaines doctrines », conduirait à l'abrogation de fait de la loi. Le roi étant le responsable de l'exécution des lois, c'est à lui qu'il faudrait référer de l'éventuelle annulation de facto de la loi votée en 1816, pour qu'il fasse adopter des mesures analogues. Cette nécessité se fait d'autant plus sentir que le crime national commis le 21 janvier 1793, ainsi que tous les forfaits et doctrines pernicieuses qui l'ont précédé et suivi, ne saurait être effacé, selon lui, que par une expiation collective, censée produire le repentir de tous les Français 145 . Concrètement, il faut pour cela que le monument soit érigé « au nom et aux frais de la Nation », et qu'il témoigne des éternels regrets du peuple aux « générations futures » 146 . C'est peu de dire qu'en dépit des pressions qui s'exercent sur eux, les ministres font preuve de mauvaise volonté, Le 15 juillet 1824, alors que les députés continuent à délibérer sur les chapitres du budget pour 1825, et plus particulièrement sur le septième relatif au ministère de l'Intérieur, intitulé Ponts et chaussées et mines, y compris les fonds spéciaux, Leclerc de Beaulieu va prendre la parole pour déplorer le retard pris dans la construction du monument expiatoire dans l'église de la Madeleine

. Marchal, Une deuxième raison est qu'il y aurait une certaine « bienséance politique », autrement dit de la cohérence, dans le fait d'insérer cet amendement, qui abolit une solennité instituée en l'honneur de la Maison des Bourbons, à la suite d'une loi qui refuse l'accès au territoire français à Louis XVIII et d'implanter ailleurs les monuments, si c'est la source du problème, ou de dégager de nouveaux moyens financiers, notamment à travers le recours à l'emprunt, pour que le chantier aboutisse dans les meilleurs délais. Vaublanc lui répond d'une part qu'il y a déjà un projet architectural, La loi du 19 janvier 1816, sur le deuil annuel du 21 janvier, est abrogée ». En fait, explique son auteur, parce qu'une loi tendant à commémorer les 27, 28 et 29 juillet 1830 a été adoptée, le 21 janvier 1793 n'a plus à être solennisé, pp.299-300

L. Constitutionnel, Journal du commerce, politique et littéraire, Vendredi 15 juin 1821

. Le-drapeau-blanc, , vol.40, p.2

O. Ap, , p.723

. Ibid, , vol.32, pp.18-19, 1876.

, Le président de la Chambre ayant constaté que le quorum n'était pas atteint pour décider des suites éventuelles à donner à cette prise de parole, la séance fut levée, pp.18-20

, Or la seule statue de bronze de Louis XIV réalisée par Bosio, destinée à orner la place des Victoires, a coûté cette somme, C. O. Blanchard de Boismarsas, Notice sur la nouvelle statue équestre de Louis XIV, Il est possible d'en douter car les trois statues équestres prévues par l'ordonnance du 19 janvier 1816 devaient occasionner une dépense de 500.000 francs, p.11

, Journal du commerce, pp.299-300

, Cette humilité, sublime dans l'ordre religieux, ne vaut rien dans l'ordre politique. L'orgueil d'une nation est pour elle souffle de vie; la sagesse politique se garde bien d'y toucher ». Oui, sans doute, un esprit honnête conviendra que le 21 janvier est porteur d'une affliction profonde, mais il ne s'ensuit pas qu'il faille la consacrer légalement, ne serait-ce que parce que les lois ne sont faites qu'afin de satisfaire à « un intérêt général et politique », et non pour épancher les émotions, fussent-elle légitimes, d'une catégorie donnée de la population. L'un des éléments de définition de la loi s'opposerait donc au principe même des lois mémorielles. Un historien cette fois, Villemain, qui sera ministre de l'Instruction publique de 1839 à 1845, est lui aussi d'accord pour « effacer » l'anniversaire du 21 janvier 1793, mais pas le souvenir de cette journée, Juillet auraient montré avec éclat que l'irruption du peuple sur la scène politique, la méthode révolutionnaire ne serait pas en soi incompatibles avec le principe monarchique. À quoi bon, donc, discréditer toute révolution à travers la Révolution de 89? 157 Le 19 janvier de l'année suivante, Victor Cousin, professeur de philosophie en Sorbonne, explique doctement devant les mêmes que « les nations [?] ne consacrent pas leurs fautes

. Louis-philippe, sanctionne comme loi d'État l'article unique suivant: « La loi du 19 janvier 1816, relative à l'anniversaire du jour funeste et à jamais déplorable du 21 janvier 1793, p.159

*. Fond, car il ne procède ni d'historiens soucieux de défendre une cause qui leur est chère, n'est en rien secrété spontanément par la société de connivence avec ces mêmes érudits, et enfin n'est pas de nature esthétique ou scientifique, résultat de leur art ou de leur science 160 . Paradoxalement, l'oubli proclamé en 1814 était, selon ses instigateurs, le moyen le plus propre à se rappeler des bontés de Louis XVI et, derrière elles, de la clémence de son premier frère cadet. D'un point de vue politique, ce qui semble sûr, c'est que l'abus de mémoire qui a eu cours sous la seconde Restauration s'est avéré contre-productif. Loin de conjurer les vieux démons de la Révolution, la politique mémorielle réclamée par les Ultras, admise du bout des lèvres par Louis XVIII, a ancré davantage les souvenirs de 1789 et de ses scories dans l'esprit de milliers de Français. Certes, le régime de Louis-Philippe a bien perçu cet écueil, cette étude montre que l'oubli imposé par la Charte ne rentre dans aucun des types d'oubli qu'a repérés l'historien Marc Ferro, pp.418-420

. Ibid, , vol.79, pp.29-33, 1891.

, Règne de Louis-Philippe I er, Août, vol.1833, p.1

, Recueil des lois et ordonnances d'un intérêt général, p.6

, « Les oublis de l'Histoire, vol.49, pp.57-66, 1989.

, du moins le croyait-il, la véritable cause du malaise suscité chez les royalistes de coeur par la loi promulguée à la fin du mois de janvier 1833, à savoir qu'elle « faisait bien ressortir la situation bâtarde de cette monarchie qui, née d'une révolution, reniait sa mère [= la monarchie rétablie en 1814]» 162 . Désormais, les Légitimistes, dont la marque est tout autant un royalisme sentimental qu'une piété ostentatoire 163 , vont faire entendre, selon Stéphane Rials, « la petite musique de la nostalgie ». Le deuil que l'on porte, le jour que l'on commémore d'année en année, c'est désormais aussi celui du duc de Bordeaux, pour mieux stigmatiser la branche cadette des Bourbons, jugée usurpatrice du trône 164 . Sans doute n'auraient-ils guère prisé, ces contempteurs, ces vers d'Aragon: « Malgré tout ce qui vint nous séparer ensemble Ô mes amis d'alors c, Cour de Cassation, dépeint ainsi les choses: tolérance pour les opinions, mais point pour les actes 161 . Mais le remède n'a-t-il pas été trop fort? Alexandre Dumas a décelé, vol.165

J. Broch, Maître de Conférences HDR en Histoire du droit à l'Université d

. Réquisitoires, et discours de rentrée, prononcés par M. Dupin, procureur général près la Cour de Cassation, p.357

, Le dernier roi des Français (Louis-Philippe) 1772-1851, Bruxelles, Ch. Muquardt, 1852, p.87

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. Le, P. Paris, and . Que, , vol.36, pp.9-11, 1983.

, « Les mots m'ont pris par la main, OEuvres poétiques complètes, vol.II, p.165, 2007.