V. Le-commentaire-précité-de and J. , Pontier à propos de cet arrêt) alors qu'en l'espèce il y a bien une convention, et c'est la nature de cette convention qui pose problème, enfin, dans l'affaire d'Aix il s'agissait d'une association alors qu'ici le cocontractant est une société. Bref, si l'on résume un peu brutalement, les deux affaires, bien que concernant toutes deux un festival musical, qu'à l'origine le festival était une initiative privée, alors que dans notre affaire il était public dès l'origine, par ailleurs le festival d

, le service public culturel, incontestable, ne se retrouve plus tant dans des activités qui en furent à l'origine, le théâtre, et bien que dans les deux cas ce sont des activités de « diffusion » culturelle, mais dans des activités plus « contemporaines », ou dont nos contemporains sont friands, les festivals. Ensuite, les problèmes qui surgissent sont étroitement liés aux relations qu'entretiennent des collectivités publiques, particulièrement des communes, avec des partenaires privés, en particulier aux conditions dans lesquelles l'activité est confiée à une personne privée. Enfin -mais cela n'étonnera plus personne -la problématique n, Trois observations sont possibles en guise de conclusion. Tout d'abord