, Citoyenneté et fait minoritaire dans la ville médiévale. Étude comparée des juifs de Marseille, de Catalogne et de Majorque au bas Moyen Âge », pp.73-103, 1986.
Pourrière, qui cite et commente ce passage, op. cit., p. 9, restitue la date de 1350, La ville des Tours disparaît dans les dernières décennies du xiv e siècle. 18. AD BDR, 1 G 13, vol.217, pp.117-118, 1666. ,
, AD BDR 2 G 542, non folioté
fournit deux références tirées d'actes notariés qui confirment l'identification de la rue des Guerriers comme un élément de la Juiverie : « in juzataria, carreria Guerrerii » (1371), « in juzataria antiquitus appelata Guerrerii, pp.404-405, 1396. ,
, , p.135
, Les juifs de Pertuis au Moyen Âge », dans L'expulsion des Juifs de Provence et de l'Europe méditerranéenne (xv e -xvi e siècles). Exil et conversions, éd. D. Iancou-Agou, pp.34-36, 1981.
L'auteur indique que la même situation prévaut à Cavaillon à partir de 1453, Les juifs de Carpentras à partir du xiii e siècle, vol.19, p.216, 1969. ,
, « Pro majori securitate judeorum et pro majori honestate fidelium, Une vague d'émeutes anti-juives en Provence au XV e siècle, vol.12, pp.27-84, 1991.
, Chrétiens et juifs dans l'Arles du bas Moyen Âge : leurs relations, vol.70, pp.557-558, 2014.
nommé viceprotonotaire le 24 août 1349, puis maître rational de la chambre des comptes en 1353, vol.147, p.373 ,
, sénéchal du palais, maître rational de la chambre des comptes, pp.229-230