. Le, Avec beaucoup d'hésitations, les héritiers s'engagent en 1969 dans la réalisation de l'usine de Fos sur Mer près de Marseille. Ce gros investissement, après celui de Dunkerque par Usinor, endette les entreprises de Wendel à l'image de l'ensemble de la sidérurgie française. La rentabilité des entreprises est fragilisée par le contrôle public des prix de vente qui rogne leur marge. La situation de Wendel, devenue Marine-Wendel, est aggravée par un engagement conflictuel dans Creusot-Loire, développement mondial de la sidérurgie sur l'eau. Les nouvelles usines sont construites dans un port afin d'importer les matières premières

. L'endettement-dépasse-le-chiffre-d'affaires, R. Le-gouvernement-de, and . Barre, reprend les actifs à son compte, c'est-à-dire qu'il étatise la sidérurgie, avant que le gouvernement de Pierre Mauroy (1981) ne la nationalise. Le destin de la sidérurgie française, 1978.

, Mais ce projet est stoppé par l'OPA (offre publique d'achat) de Mittal en 2006 qui donne naissance à un groupe global. La famille Wendel a anticipé les décisions politiques en regroupant en 1977 ses actifs non sidérurgiques dans une nouvelle société, la CGIP (Compagnie Générale d'Industries et de Participations). À partir de ce noyau, bien inférieur aux avoirs sidérurgiques devenus théoriques, un membre de la famille, Rassemblée en 1987 dans Usinor-Sacilor, la sidérurgie est privatisée en 1995, puis renommée Usinor en 1997, elle tente de devenir un champion européen en 2002 (Arcelor), 1937.

J. Jean-noël, François de Wendel en République, 1976.

, La sidérurgie française et la maison de Wendel pendant les Trente Glorieuses, Mioche Philippe (dir), 1945.

W. Denis and W. François-de, Illustrations en annexes : Charles de Bertier, Les forges d, 2001.