B. Paris and . Lat, Pour le rattachement à du Périer, voir : François Avril, Nicole Reynaud, Les manuscrits à peintures en France, vol.8200, p.201, 1995.

M. Chantilly and . Condé, , pp.833-834

B. Genève,

B. Paris and . Fr, , p.374

B. Bruxelles and . De-belgique, , vol.10175

B. Paris and . Fr, , 1457.

. Bouquechardière, Les armoriaux modernes donnent généralement à la famille du Périer de Provence une tête de lion couronnée d'or ou d'argent et lampassée de gueules. Ces détails du lion sont des licences artistiques à la fin du Moyen Âge et leur usage ne se, p.142, 2008.

M. Pastoureau, Traité d'héraldique, op. cit, pp.177-187

, Sur le manuscrit français 423 de la bibliothèque nationale de France, on trouve avec une main du XV e siècle un ex-libris des Thomassin accompagné de leurs armes brisées par l'ajout d'une étoile sur la bande

P. François-du, brise ses armes par changement de couleur de la bordure engrêlée qui devient d'or dans les registres des armoiries consulaires de Lyon, Cette existence de brisures chez ces deux familles au XV e est particulièrement notable dans la mesure où la pratique de la brisure tend à disparaître en dehors des familles princières à partir du XIV e siècle : Michel Pastoureau, p.180

O. Jean and . Berry, de France à la bordure engrêlée et componée d'argent et de gueules, de France à la bordure engrêlée de gueules, ou au-delà de la famille royale Richard d'Étampes, pp.1395-1438

, accompagnée en chef d'une tête de lion d'or et en pointe d'une rose du même), Caboud (d'argent à la bande d'azur, chargée de trois étoiles du champ et accompagnée en chef d'une tête de lion de gueules et en pointe d'un croissant du même) et Casimir-Perier (semblables aux armes des Thomassin ; l'attribution est probablement erronée, par confusion avec nos du Périer, la famille bourgeoise des Casimir-Perier, Nous avons trouvé les familles de Chalvet (de gueules, à une bande d'or, chargée de trois croisettes du champ

B. B. Aml, , vol.34

, Claude est consul en 1484-85, Louis en 1486-87 puis Claude à nouveau en 1488-89. Louis l'est ensuite l'année suivante en, pp.1491-92

C. Fargeix, Les élites lyonnaises, op. cit. (n. 11), pp.180-181

K. Berlin,

F. Avril and N. Reynaud, Les manuscrits à peintures en France, pp.199-200, 1995.

, Sur le recto du premier folio se trouve l'inscription « nissamohT » (Thomassin à l'envers) et les armes de Thomassin brisées d'une étoile ajoutée sur la bande

, Le Catalogue régional des incunables des bibliothèques publiques de France (tome XVI) indique qu'il s'agit de la branche bourbonnaise des Thomassin mais celle-ci n

L. Perier, Elle fait partie de la noblesse provençale et prend au XVIII e siècle le titre de marquis du Périer, avant de s'éteindre en 1801 pour la ligne directe. Parmi les personnages notables de la descendance de Gaspard du Périer, on peut noter Charles-François du Périer du Mouriez 158 , plus connu sous le nom de Dumouriez et vainqueur de la célèbre bataille de Valmy en 1792 mais aussi Charles du Périer, « prince des poètes lyriques » pour l'abbé Ménage, poète latin de la fin du XVII e siècle. On peut également avancer une filiation avec François du Périer. Celle-ci n'est jamais explicite dans les documents que nous avons trouvés. Néanmoins, François du Périer lui succède dans la vie politique lyonnaise et surtout la division de l'héritage de Louis se fait entre Gaspard d'un côté et Marguerite Baronnat et François du Périer de l'autre, suggérant que François est le fils de Louis du Périer et de Marguerite Baronnat. Ses dates d'activité connues, les années 1530 et 1540, et son décès en 1557 laissent supposer qu'il s'agit d'un fils assez tardif qui a probablement au moins une dizaine voire une vingtaine d'années de moins que Gaspard. Contrairement à ce dernier, il reste à Lyon et est élu consul en 1537-1538, 1542-1543 et 1549-1550. Au début des années 1530, il est fermier du sel à Lyon et effectue quelques missions pour le consulat 159 . Il est alors désigné comme « noble homme, citoyen et bourgeois de Lyon » 160 . Entre son second et son troisième mandat consulaire, il prend les titres d'écuyer et de seigneur d'Ouzielles. Ferdinand Frécon a retrouvé son testament où François institue comme héritiers universels Antoine et Claude Sanneton 161 , deux frères d'une autre famille consulaire lyonnaise avec laquelle il semble lié, Les documents d'archives mentionnent clairement Gaspard du Périer comme fils de Louis. En 1493, quand son père le propose comme juge de la cour séculière, il a 25 ans, ce qui le ferait naître en 1468, trois ans après le mariage de Louis et d'Anne Tèze qui est désignée comme sa mère. Il est docteur dans les deux droits de l'université de Pise et obtient en 1501 un des onze offices de conseillers du parlement d'Aix nouvellement créé

, Dumouriez appartient à une branche cadette issue d'un frère de François du Périer, l'ami de Malherbe

J. Dureau, En faveur de la chose publique » : délibérations consulaires de Lyon : 9 janvier 1533-22 décembre 1534 (n.s.), Lyon, Archives municipales, p.502, 1998.

. Aml, , vol.150

M. Sur-la-famille-sanneton and . Tamet, Antoine est conseiller du roi et avocat à Paris, délégué à la justice de Metz en 1558 et président de celle-ci en 1564. Claude Sanneton est un libraire lyonnais, 2011.

, Ce n'est donc pas la maison familiale où résidait Louis du Périer près de Saint-Nizier

, imprimé en 1643. Jacques du Périer, fils de Louis, frère de Gaspard, p.94

H. César-de-nostredame, . Et-chronique-de-provence, S. Lyon, and . Rigaud, , p.689, 1624.

, Périer pour son entrée dans l'ordre, mais il n'est capable de ne citer que le nom d'un seul de ses grands-parents, Jean du Périer, barbier de Louis XI, dont il est à peu près certain qu'il n'a rien à voir avec la famille du Périer de Lyon

, Cette dernière erreur se trouvait déjà dans le Dictionnaire de la noblesse de François-Alexandre Aubert de La Chenaye-Desbois qui tente apparemment de corriger, de façon erronée, le Martyrologe de Goussancourt qu'il cite. Pour l'Armorial de Dauphiné de Gustave de Rivoire de la Bâtie

. D'un-point-de-vue-purement-chronologique,

, He was first elected Consul of Lyon in 1486 for two years and then served three more terms in 1490, 1497 and 1501. At that time, he was one of the most important people in Lyon. He is one of the first in the order of consuls and is regularly consulted for the administration of the city when he is not elected. He obtained for himself and for his son many municipal honours. In addition, he became chief of the salt administration in Provence in 1489, was appointed courrier (chief for civil justice in Lyon) to the archbishop around 1493 and obtained nobility in 1498. Thanks to him, Lyon and its strong and lasting links with this city. Louis' origin and the first years of his life remain mysterious