. Sauver-son-honneur, dont il défend la loyauté : si Lelio tarde à revenir à Ferrare c'est pour des raisons de force majeure. L'amitié (II 2) est pas démériter. Odoardo, pour sa part, veut prendre sa place en prison, arguant son grand âge, sa fin proche et soulignant que sa vie, ainsi que celle de toute la postérité, sont déposées dans celle de son fils. Ce que Flaminio refuse

, En bref, ces personnages sont des modèles à suivre et respectent l'ordre établi, celui du duc de Ferrare en particulier, à qui la comédie rend hommage

, Et le duc lui en accorde huit. (II 1). La bienveillance du duc est prouvée (II 2). Lelio lui doit la vie (III 8), Flaminio se réjouit d'obtenir ses faveurs. Outre la courtoisie et la trop grande amabilité du duc, soulignées par Pomponio (IV 2), c'est sa « solide bonté » qui est mise en exergue. Tout d'abord, si le duc a accepté de donner la main d'Erminia à Bellerofonte, c'est qu'il ignorait que la jeune fille s

;. Erminia-en-lui-offrant-le-gouvernement-de-la-garfagnana and . Carfagnana,

. Voir-À-ce-propos-:-josé and . Guidi, Visages de la cour selon Castiglione et l'Arétin : du « Cortegiano » à la « Cortigiana », dans Culture et société en Italie du Moyen Âge à la Renaissance, vol.13, pp.219-228, 1990.

, Édition de référence, p.69

P. Voir, S. Viti, and . Pittaluga, Comico e tragico nel teatro umanistico, Milano, Ledizioni, 2016 ; Marzia Pieri, La nascita del teatro moderno in Italia tra XV e XVI secolo, 1989.

, Source Internet : Giulia Tellini Sforza Oddi Commedie. L'Erofilomachia, I morti vivi